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A tout temps ses épreuves et actuellement, la conjoncture montre les tensions sur le marché immobilier annécien.
2026 le renouveau ?
Avec la difficulté d'obtenir des prêts immobiliers à cause des mesures restrictives bancaires comme les sauts de charge ou du reste à vivre, les locataires doivent capitaliser davantage pour se bâtir un apport significatif d'au moins 30 % du montant total de l'opération. Et face aux nombreux refus de prêt, les locataires cherchent pourtant à prendre leur envole pour se constituer leur patrimoine au plus vite sur le marché immobilier n°1 de la valeur refuge.
Et c'est cela qui freine les libérations des locations en manque de renouvellement malgré le flux migratoire toujours positif sur le bassin ainsi que sur sa périphérie.
Le réajustement du marché ne peut se faire que par ses acteurs et éventuellement par les pouvoirs publics avec des solutions d'incitations de financement ou d'exonération fiscale ou d'impôts pour palier le grand écart entre la théorie et la pratique.